Paris tend la main au dialogue : Le nouveau ministre de l'Intérieur français cherche à normaliser les relations avec l'Algérie
October 19, 202588 VuesTemps de lecture: 2 minutes
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Dans sa première déclaration concernant les relations maghrébines, le nouveau ministre de l'Intérieur français, Laurent Nunez, a annoncé dimanche son souhait de "reprendre le dialogue" avec l'Algérie, dans une tentative de surmonter la crise diplomatique qui frappe les relations entre les deux pays depuis plus d'un an.
Nunez, qui a récemment pris ses fonctions, a reconnu que la tension actuelle avait conduit à une interruption quasi totale de la coopération sécuritaire entre Paris et Alger, ce qu'il a qualifié de "grand problème" pour un ministre de l'Intérieur face aux défis sécuritaires communs.
Les racines de la crise remontent à l'été 2024, lorsque la France a officiellement reconnu le plan d'autonomie proposé par le Maroc pour résoudre la question du Sahara occidental, ce que l'Algérie a considéré comme un parti pris inacceptable, entraînant le gel de plusieurs canaux diplomatiques et sécuritaires.
Dans une interview avec des médias français, Nunez a souligné la nécessité de "passer à l'action" pour reconstruire des ponts de communication, affirmant que la reprise du dialogue avec l'Algérie était devenue une urgence, notamment sur les questions de sécurité et d'échange d'informations.
Cette démarche française intervient à un moment sensible, au milieu de transformations régionales et de défis sécuritaires croissants, ce qui rend la normalisation des relations avec l'Algérie une priorité stratégique.
Nunez, qui a récemment pris ses fonctions, a reconnu que la tension actuelle avait conduit à une interruption quasi totale de la coopération sécuritaire entre Paris et Alger, ce qu'il a qualifié de "grand problème" pour un ministre de l'Intérieur face aux défis sécuritaires communs.
Les racines de la crise remontent à l'été 2024, lorsque la France a officiellement reconnu le plan d'autonomie proposé par le Maroc pour résoudre la question du Sahara occidental, ce que l'Algérie a considéré comme un parti pris inacceptable, entraînant le gel de plusieurs canaux diplomatiques et sécuritaires.
Dans une interview avec des médias français, Nunez a souligné la nécessité de "passer à l'action" pour reconstruire des ponts de communication, affirmant que la reprise du dialogue avec l'Algérie était devenue une urgence, notamment sur les questions de sécurité et d'échange d'informations.
Cette démarche française intervient à un moment sensible, au milieu de transformations régionales et de défis sécuritaires croissants, ce qui rend la normalisation des relations avec l'Algérie une priorité stratégique.
