Syrie et défis de la nouvelle génération dans la reconstruction
August 8, 2025117 VuesTemps de lecture: 3 minutes

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Dans une statistique préliminaire révélée par le ministre de l'Économie et de l'Industrie syrien Nidal al-Chaar, il est indiqué que le taux de chômage dépasse 60 %, tandis qu'il y a 2,7 millions de jeunes en dehors de l'éducation et du travail. Ces chiffres ne sont pas de simples statistiques, mais indiquent une catastrophe humanitaire et économique qui menace l'avenir du pays tout entier, surtout dans un contexte de rareté des ressources et d'absence d'investissements majeurs.
Cette réalité soulève une question urgente : comment reconstruire un pays dont l'infrastructure a été complètement détruite, qui a perdu ses secteurs productifs, et dont une grande partie de la jeunesse est incapable de contribuer au processus de construction ?
2,7 millions de jeunes Syriens n'ont pas reçu d'éducation et ne possèdent aucune compétence professionnelle. Au moment où ils auraient dû être le pilier de l'avenir, ils sont devenus un lourd fardeau pour l'économie et la société.
Ce problème ne peut pas être résolu par des programmes de formation traditionnels, mais nécessite un plan complet incluant :
La réhabilitation de l'éducation par la construction de nouvelles écoles et la formation d'enseignants, avec un accent sur l'éducation professionnelle et technique.
La création d'emplois rapides à travers des projets intensifs en main-d'œuvre dans la construction et l'agriculture, même s'ils sont temporaires.
Un partenariat élargi avec le secteur privé pour garantir la durabilité de l'emploi et lier la formation aux besoins du marché.
Bien que al-Chaar ait confirmé que le gouvernement n'a pas l'intention de privatiser le secteur public, mais cherche des partenariats avec le secteur privé pour la reconstruction. Mais la question est : qui prendra les risques d'investir en Syrie aujourd'hui ? Malgré l'optimisme de certains hommes d'affaires syriens en Turquie, qui ont commencé des projets d'investissement, les défis sécuritaires et juridiques demeurent un obstacle majeur Pour attirer les investissements, le gouvernement doit fournir des garanties telles que :
Stabilité politique et sécuritaire : l'investisseur ne prendra pas le risque de perdre son argent dans un environnement instable.
Réforme légale : des lois claires protégeant les investisseurs contre la corruption.
Activer le contrôle populaire et la responsabilité est nécessaire pour garantir l'intégrité des projets.
Reconnaître le problème est le premier pas vers la solution. Les déclarations franches du ministre de l'Économie et de l'Industrie reflètent l'intention du gouvernement de traiter sérieusement la crise.
Les principaux défis auxquels la Syrie est confrontée aujourd'hui :
Financement de la reconstruction, en tête desquels se trouvent les projets d'infrastructure.
Réformer le système éducatif et ramener des millions de jeunes à l'école ou à la formation professionnelle.
Créer des opportunités d'emploi, ce qui nécessite d'atteindre une stabilité politique et internationale.
La balle est maintenant dans le camp du gouvernement et de la communauté internationale. Y aura-t-il une réelle volonté de sauver une génération entière de la perte ?
Cette réalité soulève une question urgente : comment reconstruire un pays dont l'infrastructure a été complètement détruite, qui a perdu ses secteurs productifs, et dont une grande partie de la jeunesse est incapable de contribuer au processus de construction ?
2,7 millions de jeunes Syriens n'ont pas reçu d'éducation et ne possèdent aucune compétence professionnelle. Au moment où ils auraient dû être le pilier de l'avenir, ils sont devenus un lourd fardeau pour l'économie et la société.
Ce problème ne peut pas être résolu par des programmes de formation traditionnels, mais nécessite un plan complet incluant :
La réhabilitation de l'éducation par la construction de nouvelles écoles et la formation d'enseignants, avec un accent sur l'éducation professionnelle et technique.
La création d'emplois rapides à travers des projets intensifs en main-d'œuvre dans la construction et l'agriculture, même s'ils sont temporaires.
Un partenariat élargi avec le secteur privé pour garantir la durabilité de l'emploi et lier la formation aux besoins du marché.
Bien que al-Chaar ait confirmé que le gouvernement n'a pas l'intention de privatiser le secteur public, mais cherche des partenariats avec le secteur privé pour la reconstruction. Mais la question est : qui prendra les risques d'investir en Syrie aujourd'hui ? Malgré l'optimisme de certains hommes d'affaires syriens en Turquie, qui ont commencé des projets d'investissement, les défis sécuritaires et juridiques demeurent un obstacle majeur Pour attirer les investissements, le gouvernement doit fournir des garanties telles que :
Stabilité politique et sécuritaire : l'investisseur ne prendra pas le risque de perdre son argent dans un environnement instable.
Réforme légale : des lois claires protégeant les investisseurs contre la corruption.
Activer le contrôle populaire et la responsabilité est nécessaire pour garantir l'intégrité des projets.
Reconnaître le problème est le premier pas vers la solution. Les déclarations franches du ministre de l'Économie et de l'Industrie reflètent l'intention du gouvernement de traiter sérieusement la crise.
Les principaux défis auxquels la Syrie est confrontée aujourd'hui :
Financement de la reconstruction, en tête desquels se trouvent les projets d'infrastructure.
Réformer le système éducatif et ramener des millions de jeunes à l'école ou à la formation professionnelle.
Créer des opportunités d'emploi, ce qui nécessite d'atteindre une stabilité politique et internationale.
La balle est maintenant dans le camp du gouvernement et de la communauté internationale. Y aura-t-il une réelle volonté de sauver une génération entière de la perte ?