Dans un développement surprenant, les autorités judiciaires en Égypte ont renvoyé l'artiste Mohammed Ramadan devant le tribunal en raison de sa dernière chanson intitulée "Numéro un, oh demi".
Selon les enquêtes menées dans ce contexte, Ramadan n'a pas obtenu les autorisations nécessaires de la censure des œuvres artistiques égyptiennes, qui accordent les approbations nécessaires à la diffusion des chansons sur les plateformes électroniques, y compris "YouTube".
Les enquêtes ont confirmé que la chanson contient des paroles qui vont à l'encontre des normes sociales et du bon goût, et promeut la violence de manière inacceptable, tout en faisant l'éloge de comportements inappropriés concernant l'estime de soi au détriment des autres.
Il a été rapporté en août dernier qu'une lettre de la direction des chansons de la censure des œuvres artistiques indiquait que la chanson avait été publiée sur les réseaux sociaux, et la censure a confirmé qu'elle n'était pas apte à être diffusée publiquement et n'avait pas été légalement autorisée.
Il semble que la chanson qui a suscité la controverse sur les plateformes Internet ne soit pas la première fois que Mohammed Ramadan fait face à des critiques en raison de ses œuvres artistiques.
La censure avait précédemment confirmé que le clip vidéo de la chanson n'avait pas obtenu les approbations nécessaires pour le tournage ou la duplication.
Dans un contexte connexe, Ramadan continue son activité artistique, ayant récemment terminé le tournage de sa nouvelle chanson qui a été filmée aux États-Unis, en collaboration avec Lara Trump, l'épouse du fils du président américain, dans l'un des palais luxueux là-bas. Cette chanson devrait être lancée sur les plateformes électroniques dans un avenir proche.
Il convient de noter que Ramadan avait également lancé sa chanson "Jeddah autrement" en août 2025, dans laquelle il a collaboré avec l'artiste saoudien Aydh Youssef, pour être la chanson officielle de la saison touristique de Jeddah.
Les répercussions de cette controverse suscitée par la chanson "Numéro un, oh demi" se poursuivent, alors que le public attend des développements dans cette affaire qui a suscité un large intérêt dans les milieux artistiques et médiatiques.