Téhéran se rapproche d'une crise de l'eau dévastatrice et les espoirs reposent sur le barrage de Taleqan, mais il sera épuisé d'ici octobre
August 10, 2025121 VuesTemps de lecture: 2 minutes

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Dans un avertissement sans précédent sur l'ampleur de la crise qui menace la vie quotidienne de millions d'habitants, les autorités iraniennes ont annoncé une aggravation de la crise de l'eau dans la capitale Téhéran, confirmant que la ville pourrait connaître une pénurie totale d'eau d'ici le mois d'octobre prochain.
Selon Mohammad Taqi Hossein Sadegh, porte-parole de l'Organisation des eaux de Téhéran, de nombreuses zones de la capitale ont connu des coupures d'eau pendant 48 heures, ce qui suscite des inquiétudes quant à l'aggravation du problème. Sadegh a déclaré à l'agence "ISNA": "Ce n'est plus une question de rareté, mais nous pourrions perdre complètement l'eau dans un avenir proche."
Dans une tentative d'atténuer la crise, le gouvernement compte sur les eaux du barrage de Taleqan, situé au nord-ouest de la capitale, mais Sadegh a averti que ces eaux ne suffiraient également que jusqu'en octobre, mettant Téhéran face à un véritable danger de catastrophe hydrique.
Dans ce contexte, le président iranien Masoud Bezhakian a mis en garde contre le risque de sécheresse des barrages qui approvisionnent la capitale en eau, avertissant que les barrages pourraient complètement s'assécher si la consommation continue d'augmenter sans régulation. Bezhakian a ajouté: "Si nous ne parvenons pas à gérer la situation de manière efficace et à rationaliser la consommation d'eau, il ne restera plus d'eau dans nos barrages."
Les autorités appellent les citoyens à cesser le gaspillage d'eau et à réduire considérablement leur consommation, dans une démarche qui pourrait être la dernière solution pour préserver ce qu'il reste des ressources en eau de la capitale.
Selon Mohammad Taqi Hossein Sadegh, porte-parole de l'Organisation des eaux de Téhéran, de nombreuses zones de la capitale ont connu des coupures d'eau pendant 48 heures, ce qui suscite des inquiétudes quant à l'aggravation du problème. Sadegh a déclaré à l'agence "ISNA": "Ce n'est plus une question de rareté, mais nous pourrions perdre complètement l'eau dans un avenir proche."
Dans une tentative d'atténuer la crise, le gouvernement compte sur les eaux du barrage de Taleqan, situé au nord-ouest de la capitale, mais Sadegh a averti que ces eaux ne suffiraient également que jusqu'en octobre, mettant Téhéran face à un véritable danger de catastrophe hydrique.
Dans ce contexte, le président iranien Masoud Bezhakian a mis en garde contre le risque de sécheresse des barrages qui approvisionnent la capitale en eau, avertissant que les barrages pourraient complètement s'assécher si la consommation continue d'augmenter sans régulation. Bezhakian a ajouté: "Si nous ne parvenons pas à gérer la situation de manière efficace et à rationaliser la consommation d'eau, il ne restera plus d'eau dans nos barrages."
Les autorités appellent les citoyens à cesser le gaspillage d'eau et à réduire considérablement leur consommation, dans une démarche qui pourrait être la dernière solution pour préserver ce qu'il reste des ressources en eau de la capitale.