"Étape par étape" .. le Conseil présidentiel libyen clarifie le principe de l'accord de sécurité de Tripoli avec la Turquie
September 13, 202545 VuesTemps de lecture: 2 minutes

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Ziade Dghaim, conseiller du président du Conseil présidentiel libyen, a déclaré que les garanties fournies par la Turquie pour soutenir la mise en œuvre de l'accord de sécurité à Tripoli reposent sur le principe "une étape pour une étape", affirmant que les concessions contenues dans cet accord étaient dans l'intérêt de la Libye et visaient à offrir un modèle d'État stable et sécurisé selon des normes internationales.
Dghaim a expliqué qu'un groupe de contact comprenant le président du Conseil présidentiel Mohamed Menfi et le Premier ministre du gouvernement d'unité nationale Abdul Hamid Dbeibah, ainsi que la mission des Nations Unies et la partie turque, a été chargé de suivre la mise en œuvre et l'activation de l'accord.
Il a souligné que l'accord comprend un calendrier et des étapes précises, tout en s'attendant à des difficultés sur certains détails, mais il a insisté sur le fait que "la volonté nationale et la qualité de la rédaction" sont suffisantes pour garantir l'avancement, ajoutant : "Nous avancerons et la Libye triomphera à nouveau, et il n'y aura pas de répit pour les ennemis, si Dieu le veut".
Il a précisé que la lenteur de la rédaction de l'accord était due à la prévision des obstacles potentiels et à la mise en place d'alternatives pour les traiter, notant que "l'esprit de responsabilité nationale et morale" des parties impliquées est le véritable garant de sa continuité.
Concernant les premières étapes de mise en œuvre, Dghaim a confirmé que l'accord stipule que chaque institution concernée doit annoncer ses réalisations directement "sans fuite ou description de la part d'autrui", appelant les médias locaux et internationaux à respecter le sens national pour garantir le succès du processus.
Le conseiller du Conseil présidentiel a souligné que le succès de l'accord sera mesuré par le degré de réalisation de la stabilité, l'activation des institutions de l'État et l'élévation des normes des droits de l'homme, notant que les priorités ultérieures se préciseront progressivement dans le cadre d'une référence claire et d'une décision nationale inclusive.