Négociations énergétiques.. Une nouvelle pression dans la guerre ukrainienne
August 26, 202525 VuesTemps de lecture: 2 minutes

Taille de police
16
En marge des pourparlers de paix sur l'Ukraine, des rapports indiquent des discussions non officielles entre des responsables américains et russes concernant des accords potentiels dans le secteur de l'énergie. Ces discussions, qui ont eu lieu lors de la visite de l'envoyé américain Steve Wittekov à Moscou, pendant le sommet de l'Alaska en août, montrent une tentative de trouver des canaux de communication non conventionnels pour traiter la crise ukrainienne.
Les sources indiquent une discussion sur le retour de la société Exxon Mobil au projet Sakhaline-1 de pétrole et de gaz en Russie, ainsi que la possibilité de fournir à la Russie des équipements américains pour des projets de gaz naturel liquéfié. Ces discussions se déroulent à un moment où la Russie fait face à un isolement international dans le secteur de l'énergie en raison des sanctions occidentales imposées depuis février 2022.
Il est clair que la Maison Blanche recherche des scénarios permettant de progresser dans le dossier de la paix tout en préservant les intérêts économiques. Mais cette approche fait face à de grands défis, notamment avec l'engagement de l'Union européenne à éliminer complètement les importations de gaz russe d'ici 2027.
Il est frappant de noter que ces discussions se déroulent séparément des partenaires européens, ce qui soulève des questions sur la cohérence de la position occidentale. Alors que Washington recherche des accords bilatéraux, Bruxelles reste attachée à la voie des sanctions et au soutien total à l'Ukraine.
Le timing est également intéressant, car un décret présidentiel russe a été publié le jour du sommet de l'Alaska, permettant potentiellement aux investisseurs étrangers de récupérer leurs parts dans des projets énergétiques, mais en liant cela à la levée des sanctions. Cette étape semble être une tentative de jouer sur les divisions potentielles dans la position occidentale.
Ces discussions restent dans le cadre des possibilités incertaines. La guerre en Ukraine se poursuit, les sanctions n'ont pas été levées, et la position européenne reste rigide. Tout progrès réel nécessitera plus que de simples accords énergétiques, mais une véritable volonté politique de mettre fin au conflit.
Les sources indiquent une discussion sur le retour de la société Exxon Mobil au projet Sakhaline-1 de pétrole et de gaz en Russie, ainsi que la possibilité de fournir à la Russie des équipements américains pour des projets de gaz naturel liquéfié. Ces discussions se déroulent à un moment où la Russie fait face à un isolement international dans le secteur de l'énergie en raison des sanctions occidentales imposées depuis février 2022.
Il est clair que la Maison Blanche recherche des scénarios permettant de progresser dans le dossier de la paix tout en préservant les intérêts économiques. Mais cette approche fait face à de grands défis, notamment avec l'engagement de l'Union européenne à éliminer complètement les importations de gaz russe d'ici 2027.
Il est frappant de noter que ces discussions se déroulent séparément des partenaires européens, ce qui soulève des questions sur la cohérence de la position occidentale. Alors que Washington recherche des accords bilatéraux, Bruxelles reste attachée à la voie des sanctions et au soutien total à l'Ukraine.
Le timing est également intéressant, car un décret présidentiel russe a été publié le jour du sommet de l'Alaska, permettant potentiellement aux investisseurs étrangers de récupérer leurs parts dans des projets énergétiques, mais en liant cela à la levée des sanctions. Cette étape semble être une tentative de jouer sur les divisions potentielles dans la position occidentale.
Ces discussions restent dans le cadre des possibilités incertaines. La guerre en Ukraine se poursuit, les sanctions n'ont pas été levées, et la position européenne reste rigide. Tout progrès réel nécessitera plus que de simples accords énergétiques, mais une véritable volonté politique de mettre fin au conflit.