Arrestation du propriétaire de la vidéo diffamatoire sur Wafaa Amer .. et l'artiste le poursuit en justice
August 11, 202593 VuesTemps de lecture: 2 minutes
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Après une campagne d'accusations controversées, l'artiste égyptienne Wafaa Amer fait face à une vague de rumeurs dangereuses l'accusant d'être impliquée dans le trafic d'organes humains.
La situation s'est aggravée récemment après la diffusion d'une vidéo d'une personne prétendant avoir vendu son rein à un riche homme par l'intermédiaire d'Amer et de la créatrice de contenu connue sous le nom de "Oum Sajda".
Bien que Wafaa Amer ait d'abord ignoré ces allégations, qu'elle a qualifiées de mensongères et de propagées dans le but de gagner en notoriété ou des gains financiers, la montée de la diffusion de la vidéo et des rumeurs l'a poussée à adopter une position ferme.
L'artiste a donc déposé une plainte officielle contre le propriétaire de la vidéo, dont les autorités de sécurité ont pu identifier l'identité et l'arrêter pour le présenter aux autorités compétentes.
Ce n'est pas la première fois que Wafaa Amer est confrontée à de telles accusations, puisqu'elle avait déjà exprimé son mécontentement d'être impliquée dans l'affaire de la mort de l'ancien footballeur Ibrahim Chika, et d'être accusée d'être impliquée dans le trafic de ses organes, en plus de travailler avec des réseaux illégaux de commerce d'organes.
Amer avait alors exprimé sa gratitude envers le syndicat des artistes qui l'a soutenue contre la campagne de diffamation qui l'a touchée.
Il convient de noter que les premières accusations ont commencé à la mi-juillet dernier sur la plateforme "TikTok" par une femme qui a accusé Wafaa Amer d'être impliquée dans la mort d'Ibrahim Chika et de son implication dans des activités douteuses, mais l'artiste n'avait pas répondu à ces allégations à l'époque.
Avec leur répétition et l'augmentation du débat parmi le public, beaucoup ont exigé soit une clarification officielle de la part d'Amer, soit des mesures légales, ce qui a finalement été réalisé par le biais de la plainte déposée et de la poursuite du propriétaire de la vidéo.
