Une délégation du Congrès américain frappe à la porte de Chaar dans une nouvelle étape
August 19, 202542 VuesTemps de lecture: 2 minutes

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Au palais du peuple à Damas, le président syrien Ahmad Chaar s'est assis devant une délégation américaine, où les ministres des affaires étrangères et de l'intérieur ont rencontré quatre membres du Congrès venus de Washington.
La délégation américaine comprend des visages des deux partis, républicain et démocrate, comme pour envoyer un message selon lequel la situation dépasse les divergences partisanes pour un intérêt américain supérieur. Le sénateur Markwayne Mullin et la sénatrice Joni Ernst, ainsi que les représentants Jason Smith et Jimmy Panetta, sont venus sous la coupole du Capitole au cœur du Moyen-Orient, lors d'un voyage symbolisant un changement radical dans la politique américaine.
Dans les couloirs diplomatiques, les observateurs ont murmuré que cette visite n'était pas un simple hasard, mais qu'elle était le couronnement d'efforts discrets commencés avec la levée des sanctions contre la Syrie en mai dernier.
Le président Chaar a écouté ses hôtes américains parler de la nécessité d'établir des canaux de communication permanents. Les discussions portaient sur des dossiers épineux : des Américains disparus à la coopération sécuritaire, de la normalisation avec Israël à la reconstruction. Mais entre les lignes, tout le monde comprenait que cette visite représentait une reconnaissance américaine que la Syrie n'était plus ce pays isolé, mais était devenue un acteur régional clé dans la nouvelle équation du Moyen-Orient.
En arrière-plan, il y avait une visite précédente du député américain Ibrahim Hamada à Damas il y a dix jours, qui a préparé cette rencontre importante. Il est devenu clair que Washington souhaite redessiner ses relations avec Damas, mais la question qui reste en suspens est : cette tentative réussira-t-elle à surmonter le lourd héritage du passé, ou les fardeaux de l'histoire alourdiront-ils ce nouveau départ ?
Tout le monde dans la région sait que cette visite n'est pas un simple protocole diplomatique ordinaire, mais un signe qu'une nouvelle page s'est ouverte dans les relations américano-syriennes. Mais comme le dit le proverbe oriental : "Le chemin vers l'enfer est pavé de bonnes intentions". Cette nouvelle graine portera-t-elle des fruits, ou les vents de la politique internationale la balayeront-ils avant qu'elle ne pousse ?
La délégation américaine comprend des visages des deux partis, républicain et démocrate, comme pour envoyer un message selon lequel la situation dépasse les divergences partisanes pour un intérêt américain supérieur. Le sénateur Markwayne Mullin et la sénatrice Joni Ernst, ainsi que les représentants Jason Smith et Jimmy Panetta, sont venus sous la coupole du Capitole au cœur du Moyen-Orient, lors d'un voyage symbolisant un changement radical dans la politique américaine.
Dans les couloirs diplomatiques, les observateurs ont murmuré que cette visite n'était pas un simple hasard, mais qu'elle était le couronnement d'efforts discrets commencés avec la levée des sanctions contre la Syrie en mai dernier.
Le président Chaar a écouté ses hôtes américains parler de la nécessité d'établir des canaux de communication permanents. Les discussions portaient sur des dossiers épineux : des Américains disparus à la coopération sécuritaire, de la normalisation avec Israël à la reconstruction. Mais entre les lignes, tout le monde comprenait que cette visite représentait une reconnaissance américaine que la Syrie n'était plus ce pays isolé, mais était devenue un acteur régional clé dans la nouvelle équation du Moyen-Orient.
En arrière-plan, il y avait une visite précédente du député américain Ibrahim Hamada à Damas il y a dix jours, qui a préparé cette rencontre importante. Il est devenu clair que Washington souhaite redessiner ses relations avec Damas, mais la question qui reste en suspens est : cette tentative réussira-t-elle à surmonter le lourd héritage du passé, ou les fardeaux de l'histoire alourdiront-ils ce nouveau départ ?
Tout le monde dans la région sait que cette visite n'est pas un simple protocole diplomatique ordinaire, mais un signe qu'une nouvelle page s'est ouverte dans les relations américano-syriennes. Mais comme le dit le proverbe oriental : "Le chemin vers l'enfer est pavé de bonnes intentions". Cette nouvelle graine portera-t-elle des fruits, ou les vents de la politique internationale la balayeront-ils avant qu'elle ne pousse ?