Le ministère de la Culture libanais dément l'utilisation du château de Baalbek comme entrepôt d'armes par le Hezbollah

Le ministère de la Culture libanais a démenti, dans un communiqué officiel, les allégations concernant l'utilisation du château de Baalbek comme entrepôt d'armes par des partis politiques, affirmant que ces informations "sont sans fondement et n'ont aucun lien avec la vérité".
Le ministère a souligné que les agences de sécurité libanaises sont les seules responsables de la protection du château, qui est classé parmi les sites protégés selon le protocole II de la Convention de La Haye et porte le label de la protection des biens culturels en temps de conflit.
Le ministère a appelé les citoyens et les médias à se référer à lui pour obtenir des informations précises sur les sites archéologiques, affirmant que le château de Baalbek est "dépourvu de toute matière suspecte", en réponse directe aux déclarations de l'ancien député Antoine Zahra qui a prétendu que le château avait été utilisé pendant des décennies par le "Hezbollah" comme entrepôt d'armes.