Affrontement chaud entre deux stars syriennes... accusations de mensonge et scandales révélés au grand jour.

March 1, 2025204 vuesTemps de lecture: 3 minutes
Affrontement chaud entre deux stars syriennes... accusations de mensonge et scandales révélés au grand jour.

Dans le cadre du débat enflammé suscité par ses récentes déclarations, la star syrienne Sulaf Fawakherji a enfin rompu son silence, mais de manière indirecte, en utilisant la fonctionnalité "Story Instagram" pour répondre au flot de critiques qui l'ont touchée.

Après avoir provoqué une grande agitation avec ses propos sur sa relation avec l'ancien président syrien Bachar el-Assad et son frère Maher el-Assad, Fawakherji a publié cinq messages soutenant sa position, où certains l'ont décrite comme "libre" et "authentique", tandis qu'un internaute a écrit : "Dans un temps de chute libre, tu es restée la maîtresse de tes pensées". Un autre a ajouté : "L'authentique ne renie pas ses proches, et le fidèle ne nie pas ses amis".

Elle a également été défendue par l'écrivain Ali Doukhi, qui a affirmé qu'elle était "une personne claire, équilibrée, sincère et transparente, qui n'a pas peur d'exprimer son opinion, même si certains ne sont pas d'accord avec elle".

Fawakherji a fait face à une large attaque après son apparition dans une interview télévisée où elle a exprimé des positions incendiaires, qualifiant Bachar el-Assad d'"homme honorable", affirmant qu'il "n'a pas personnellement commis de massacres dans son pays".

Elle a révélé qu'elle l'avait rencontré quatre fois, ainsi que sa femme à deux reprises, en plus d'une rencontre avec Maher el-Assad, qu'elle a décrit comme "respectueux".

Ses déclarations sur la révolution syrienne ont suscité encore plus de controverse, considérant qu'elle n'était pacifique que dans ses débuts, mais qu'elle s'est rapidement transformée en violence, ce qui a nécessité une réponse de l'État, selon ses mots.

Elle a également justifié la présence des forces russes et iraniennes en Syrie, affirmant qu'elles étaient "alliées de l'État syrien", et a loué le rôle du Hezbollah libanais, notant qu'il a "libéré Saydnaya et les religieuses de Maaloula".

En réponse cinglante aux déclarations de Fawakherji, l'actrice et réalisatrice syrienne Leila Awad a lancé une attaque virulente contre elle, la qualifiant de "menteuse", soulignant que le régime précédent n'a pas soutenu les artistes comme elle l'a prétendu, mais a "arrêté beaucoup d'entre eux".

Awad a écrit dans un tweet sur "X" :

"Ton État n'a pas soutenu les artistes opposants, mais a arrêté beaucoup d'entre eux !".

Elle ne s'est pas arrêtée là, mais a dressé une liste des artistes qui ont payé le prix de leurs positions, affirmant qu'elle-même avait été arrêtée et emprisonnée pendant 16 mois.

Elle a également mentionné que Samar Koukash avait été emprisonnée pendant plus de 3 ans, tandis que Zaki Kordello et son fils Mahyar sont toujours portés disparus à ce jour.

Elle a rappelé l'agression brutale subie par le grand artiste Ali Farzat, ainsi que la mort du monteur Hicham Moussalli sous la torture, selon ses dires.

Malgré la vague de colère et les critiques violentes, Sulaf Fawakherji n'a pas reculé sur sa position, mais a continué à la défendre, indifférente à la tempête que ses déclarations ont provoquée.

Répondra-t-elle directement à Leila Awad pour clarifier sa position ? Ou préfère-t-elle ignorer la tempête et aller de l'avant ?

Partager l'article