Erdogan s'engage à continuer de soutenir les Syriens jusqu'à ce qu'ils atteignent la stabilité dans leur pays.

Erdogan a souligné, lors d'un discours prononcé lors de la réunion élargie des présidents des branches du Parti de la justice et du développement, ce mardi 8 avril, que "la Turquie n'hésitera pas à remplir ses responsabilités avec fermeté concernant la question syrienne".
Erdogan a également condamné ce qu'il a qualifié de "violences sionistes" dans la bande de Gaza, faisant référence à "des crimes de guerre commis ouvertement, y compris le ciblage d'ambulances et des exécutions sur le terrain contre les équipes médicales".
Le président turc a souligné que "son gouvernement continuera à faire face aux pressions venant de lobbies internationaux, en tête desquels le lobby sioniste", affirmant que "son pays ne restera pas silencieux face à ce qui se passe à Gaza et qu'il continuera à défendre les opprimés".
Erdogan a également indiqué que "son pays abordera, lors du quatrième Forum diplomatique d'Antalya, le dossier du génocide subi par les civils à Gaza", soulignant que "l'escalade des conflits et la recherche de nouvelles cartes expansionnistes ne profiteront à personne".
Le ministère turc de la Défense a nié la véracité des rapports médiatiques faisant état de discussions avec Israël concernant la création d'une ligne de désescalade en Syrie, qualifiant ces informations de "tendancieuses et non fondées sur des sources officielles".