"Le quatrième pouvoir" aux portes de Gaza en attente d'approbations d'entrée

Gaza occupe le devant de la scène dans les titres de journaux et les bulletins d'information, les crimes qui s'y déroulent ont dépassé toutes les limites de la logique et du raisonnable, et le monde assiste à des diffusions en direct de toutes les formes de mort et de tragédies. Face à l'ampleur du crime et à la grandeur de l'humanité enracinée, aucune vérité ne peut être transmise par la presse, la mort est la seule vérité et elle peut souvent être un prédateur pour celui qui la transmet.
Des centaines de journalistes ont été ciblés dans la bande de Gaza par les forces israéliennes depuis le début de la guerre, des bureaux de presse, des équipes entières, certains d'entre eux sont même devenus une école ajoutée à tout ce qu'un journaliste peut apprendre des références et des recherches, et certains d'entre eux sont devenus la nouvelle.
L'initiative "le droit à la couverture", a été signée par plus de 100 journalistes, photographes et correspondants de guerre du monde entier pour demander l'autorisation immédiate et sans censure pour les journalistes étrangers d'entrer dans la bande de Gaza afin de couvrir de manière indépendante la guerre d'extermination israélienne.
Les demandes stipulent que Gaza est la situation la plus urgente, mais qu'elle fait partie d'un schéma plus large qui menace la liberté de la presse dans le monde entier, défendre la liberté de couverture à Gaza, c'est défendre la liberté de la presse partout.