Le ministère des Communications nie les allégations d'ingérences étrangères et confirme la transparence de ses transactions

Le ministère des Communications et de la Technologie de l'Information a catégoriquement nié ce qui circule sur certaines plateformes concernant des ingérences de parties privées dans son travail, ou la signature de nouveaux contrats avec des entités arabes ou étrangères, affirmant que "ces allégations sont totalement dénuées de vérité, niées dans leur intégralité et en détail, et n'ont absolument aucun lien avec les entités mentionnées".
Cela a été déclaré dans un communiqué du ministère dont l'Agence SANA a reçu une copie, où il a été précisé que "la Syrie a entamé une nouvelle ère", soulignant que la gestion de ses affaires et de ses relations avec les entités internes et externes se fait "avec transparence et conformément aux principes légaux et aux réglementations en vigueur". Le ministère a également exhorté à "le notifier immédiatement de toute tentative d'ingérence illégitime".
Dans un contexte similaire, le ministère _selon le communiqué_ a appelé les parties concernées par les affaires publiques et les influenceurs à "exercer leur rôle avec responsabilité nationale et éthique", en faisant preuve de "précision, en recueillant des informations auprès de leurs sources officielles, et en évitant de céder aux rumeurs et aux fausses nouvelles".
Le ministère a affirmé qu'il "reste ouvert pour recevoir toute demande, suggestion ou plainte", en précisant que "en cas de disponibilité d'informations fiables sur des tentatives d'ingérence ou de dépassement, elles peuvent être directement soumises au bureau du ministre des Communications et de la Technologie de l'Information pour prendre les mesures nécessaires".