Mohamed Mahmoud Abdel Aziz, le fils du défunt artiste Mahmoud Abdel Aziz, a brisé le silence pour répondre à la controverse croissante concernant le statut légal de la relation entre son père et l'animatrice Bosy Shalaby, après que cette dernière a publié des documents, dont un visa pour la Omra, affirmant que leur mariage a perduré jusqu'à sa mort.
Lors d'une intervention sur le programme "Al Hekaya" avec l'animateur Amr Adib, Mohamed Abdel Aziz a révélé que le nom de Bosy Shalaby ne figurait pas du tout dans l'annonce officielle de l'héritage émise après le décès de son père, confirmant que les documents officiels ne font aucune mention d'elle en tant qu'épouse.
Mohamed a expliqué que Shalaby avait intenté une action en justice en 2021 pour prouver que leur relation conjugale avait perduré après le divorce survenu en 1998, mais la justice égyptienne a rejeté sa demande à tous les niveaux, confirmant que le jugement était définitif et exécutoire.
Il a également nié les rumeurs selon lesquelles il y aurait un litige concernant un terrain d'une valeur de 100 millions de livres égyptiennes, soulignant que "tout ce qui est dit n'est pas exact", et qu'il n'y a aucune parcelle de terre faisant l'objet d'un différend légal ou familial.
Mohamed a exprimé sa tristesse face à la façon dont le nom de son père est discuté dans les médias, déclarant : "Je ne voulais pas que le nom de mon père soit mentionné dans les médias de cette manière... Nous sommes une famille qui se respecte et respecte son public", ajoutant que la famille a publié un communiqué pour clarifier les faits et en publiera un autre ultérieurement.
De son côté, Bosy Shalaby a publié un visa pour la Omra datant de 2004, où le nom de Mahmoud Abdel Aziz apparaît comme son "mahram", considérant cela comme une preuve de la continuité du mariage.
Elle a affirmé dans sa déclaration que leur relation était légitime et reconnue légalement par tous les proches et amis, citant que sa dernière carte d'identité nationale mentionnait son mariage avec lui.
Elle a également prétendu que ses démarches judiciaires étaient toujours en cours et n'étaient pas encore terminées, et qu'elle continuait à recourir à la justice égyptienne à ce sujet.
Sa déclaration est intervenue après que les héritiers de l'artiste ont confirmé dans un communiqué officiel que le divorce avait eu lieu un mois et demi seulement après le mariage en 1998, soulignant que la relation entre les deux parties après le divorce était strictement professionnelle, Bosy Shalaby ayant géré les affaires de Mahmoud Abdel Aziz en tant qu'assistante et coordinatrice, et non en tant qu'épouse.
En février dernier, Bosy Shalaby avait nié que le divorce ait eu lieu, affirmant que le défunt artiste était toujours à sa charge jusqu'à sa mort, et que les documents mentionnant le divorce étaient "faux" et avaient été utilisés frauduleusement dans un litige foncier, une affaire actuellement sous enquête judiciaire.