Hijri : Le discours autour de la séparation n'a aucun fondement.
March 4, 2025174 vuesTemps de lecture: 3 minutes
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Le cheikh Hikmat al-Hijri a déclaré qu'il "ne demande pas la séparation ou la scission de la Syrie, cela après quelques jours de son appel à la participation des pays influents dans le dossier syrien pour parvenir à un État civil".
Cette déclaration d'al-Hijri est intervenue aujourd'hui, mardi 4 mars, après des déclarations "israéliennes" concernant leur protection des Druzes de Syrie, et les accusations qui ont suivi sur les plateformes de communication à l'encontre des habitants de Sweida concernant une séparation de la Syrie.
La promotion de cette idée a été renforcée par le fait que les factions militaires dans la province n'ont pas pris de mesures concrètes pour s'engager au sein du ministère de la Défense, à l'instar des autres factions militaires ayant précédemment opéré à Idlib et dans la campagne d'Alep.
Al-Hijri a ajouté : "Notre projet est clairement national, l'unité de la Syrie, de son territoire et de son peuple. Nous voulons vivre dignement, c'est ce que nous demandons. Nous étions dans une phase, et maintenant nous sommes dans une phase de vide, et la situation est très délicate, nous devons unifier nos rangs".
Il a souligné que les discussions sur la séparation n'ont aucun fondement.
Al-Hijri a critiqué il y a quelques jours le gouvernement de Damas, déclarant à l'agence "Reuters" le 24 février : "Jusqu'à présent, nous respectons toutes les opinions, mais nous n'avons pas vu la capacité de diriger le pays ou de former l'État de la manière correcte".
Il a ajouté : "Nous avançons dans ce sens, en espérant que les choses s'organisent ou qu'il se passe quelque chose de nouveau d'ici la fin de la période de transition".
Al-Hijri a appelé à impliquer les pays influents dans le dossier syrien, pour garantir que le processus politique aboutisse à un État civil, avec une séparation des pouvoirs et la primauté du droit.
En revanche, les cheikhs de la sagesse Hamoud al-Hanawi et Youssef Jarbou ont dénoncé toute discussion sur la séparation, affirmant leur soutien à l'unité des territoires syriens.
À Sweida, la chefferie des Druzes est une autorité spirituelle et un leadership religieux hérité, dominé par trois familles principales à la tête de la hiérarchie : al-Hijri, Jarbou et al-Hanawi, aux côtés d'autres cheikhs de la sagesse.
Les manifestants de la place de la dignité et d'autres régions de Sweida ont organisé des rassemblements pour rejeter les déclarations israéliennes et l'ingérence en Syrie.
Les manifestants ont affirmé l'unité des territoires syriens et que Sweida fait partie intégrante de la Syrie, tout en critiquant le silence du gouvernement de Damas face à l'intrusion et aux déclarations israéliennes.
Cette déclaration d'al-Hijri est intervenue aujourd'hui, mardi 4 mars, après des déclarations "israéliennes" concernant leur protection des Druzes de Syrie, et les accusations qui ont suivi sur les plateformes de communication à l'encontre des habitants de Sweida concernant une séparation de la Syrie.
La promotion de cette idée a été renforcée par le fait que les factions militaires dans la province n'ont pas pris de mesures concrètes pour s'engager au sein du ministère de la Défense, à l'instar des autres factions militaires ayant précédemment opéré à Idlib et dans la campagne d'Alep.
Al-Hijri a ajouté : "Notre projet est clairement national, l'unité de la Syrie, de son territoire et de son peuple. Nous voulons vivre dignement, c'est ce que nous demandons. Nous étions dans une phase, et maintenant nous sommes dans une phase de vide, et la situation est très délicate, nous devons unifier nos rangs".
Il a souligné que les discussions sur la séparation n'ont aucun fondement.
Al-Hijri a critiqué il y a quelques jours le gouvernement de Damas, déclarant à l'agence "Reuters" le 24 février : "Jusqu'à présent, nous respectons toutes les opinions, mais nous n'avons pas vu la capacité de diriger le pays ou de former l'État de la manière correcte".
Il a ajouté : "Nous avançons dans ce sens, en espérant que les choses s'organisent ou qu'il se passe quelque chose de nouveau d'ici la fin de la période de transition".
Al-Hijri a appelé à impliquer les pays influents dans le dossier syrien, pour garantir que le processus politique aboutisse à un État civil, avec une séparation des pouvoirs et la primauté du droit.
En revanche, les cheikhs de la sagesse Hamoud al-Hanawi et Youssef Jarbou ont dénoncé toute discussion sur la séparation, affirmant leur soutien à l'unité des territoires syriens.
À Sweida, la chefferie des Druzes est une autorité spirituelle et un leadership religieux hérité, dominé par trois familles principales à la tête de la hiérarchie : al-Hijri, Jarbou et al-Hanawi, aux côtés d'autres cheikhs de la sagesse.
Les manifestants de la place de la dignité et d'autres régions de Sweida ont organisé des rassemblements pour rejeter les déclarations israéliennes et l'ingérence en Syrie.
Les manifestants ont affirmé l'unité des territoires syriens et que Sweida fait partie intégrante de la Syrie, tout en critiquant le silence du gouvernement de Damas face à l'intrusion et aux déclarations israéliennes.
