L'ex-petite amie de Musk s'immisce dans le différend entre lui et Trump avec un message surprenant.

La confrontation entre le président américain Donald Trump et le milliardaire Elon Musk s'est intensifiée, se transformant en une bataille publique qui a captivé les médias et les réseaux sociaux aux États-Unis et dans le monde.

Alors que les Américains sont divisés entre partisans et opposants, des personnalités proches des deux parties ont cherché à apaiser le conflit, avec des rapports indiquant que les assistants de Trump à la Maison Blanche envisagent d'organiser un appel téléphonique pour réduire les tensions.

Cependant, la surprise est venue d'Ashley Saint Clair, l'ancienne petite amie de Musk, qui est intervenue dans la crise avec un tweet provocateur sur la plateforme "X", adressant ses paroles à Trump : "Si vous avez besoin de conseils sur la séparation, je suis là", faisant allusion ironiquement à sa relation passée avec Musk, qui s'est terminée il y a quelques mois après avoir eu un treizième enfant avec lui.

Le différend entre Trump et Musk a éclaté après les critiques acerbes de Musk à l'égard du vaste projet budgétaire promu par Trump, que le président a qualifié de "fantastique et énorme", tandis que Musk l'a qualifié de "projet honteux et répugnant".

De son côté, Trump n'est pas resté silencieux, mais a répondu avec véhémence, ce qui a amené Musk à suggérer plus tard qu'il était la principale raison de la victoire de Trump, allant même jusqu'à soutenir l'idée de son impeachment.

L'agitation politique s'est étendue à la bourse, où la société Tesla, appartenant à Musk, a subi de lourdes pertes, son action chutant de 14%, ce qui lui a fait perdre plus de 140 milliards de dollars de sa capitalisation boursière en une seule journée.

Cette confrontation inattendue entre deux des personnalités les plus en vue en Amérique _ l'un étant le président de l'État, et l'autre l'un des hommes les plus riches du monde _ s'intensifie à chaque heure, et avec l'ajout d'Ashley Saint Clair au débat avec ses allusions sarcastiques, il semble que la crise en soit encore à ses débuts.